Spiritualité et santé


Introduction

Voici la définition de la santé selon l'OMS, Organisation Mondiale de la Santé:
"Etat de parfait bien-être, physique, moral et social, et non seulement une absence de maladie ou de handicap".

Cette définition est beaucoup plus large que celle habituellement pratiquée par les médecins occidentaux. Dans une variante plus détaillée, "physique, moral et social" pourrait être remplacé par "physique, intellectuel, social et spirituel".
La santé peut beaucoup fluctuer en fonction de l'âge, des activités, des saisons, d'un jour à l'autre.

Bien imprudent est celui qui est sûr d'être en bonne santé!

Conditions nécessaires pour être en bonne santé

Les conditions nécessaires (pas suffisantes) pour être en bonne santé pourraient être proposées comme suit:

S'alimenter avec des produits sains

La diététique est un domaine très controversé, et l'on peut lire les informations les plus contradictoires selon les auteurs. Plusieurs chemins sont possibles, là comme ailleurs.
Voici cependant ce que disent généralement les naturopathes: Manger le plus varié possible et en quantité raisonnable est la seule recommandation reconnue de tous. Le docteur Bieler (Etats Unis), biologiste, a écrit il y a une vingtaine d'années: "Le quart de ce que nous mangeons est suffisant, le reste sert à faire vivre les médecins".

Tous les produits actuels de la terre étant carencés (déficience d'oligo-éléments), il est souhaitable d'utiliser des compléments alimentaires tels que la levure de bière, le blé germé ou germe de blé, le persil, le pollen. Des compléments naturels en vitamine C comme l'acérola, en calcium comme le cartilage de requin, en défense immunitaire comme l'huile de pépin de pamplemousse, sont très utiles.

Acheter de préférence des aliments "bio". Les choisir à l'instinct, ou avec le test kinésiologique (résistance à la flexion du bras tendu horizontalement, lorsqu'on soumet la personne à un aliment ou en lui faisant penser, ou encore résistance à l'ouverture de l'anneau formé par le pouce et le majeur).

Pour la santé spirituelle, spécialement à certaines étapes d'évolution, certains aliments sont particulièrement déconseillés: la viande rouge (qui possède en plus de mauvaises vibrations par la présence du sang de l'animal, généralement abattu dans des conditions de stress), les oeufs également, mais bien d'autres aliments, dont certains sont cités ci-dessus (à chacun de faire son choix en toute conscience...). Les aliments dignes d'être offerts en dévotion selon les hindous sont indiqués dans la pratique du Bhakti-Yoga.

Vivre dans un environnement sain

Il faut habiter dans l'ordre de préférence: Dans tous les cas, mais surtout dans le dernier, écouter le plus souvent possible de la musique de relaxation, des sons et des bruits de la nature (chants d'oiseaux, ruisseaux, ...). Effectuer des promenades en campagne, forêt et montagne le week end. Dans les chambres, aérer 1/2 heure avant d'aller se coucher surtout si des équipements électriques (comme une télévision, un ordinateur) ont pollué pendant plusieurs heures et de même le matin au réveil; la température la nuit doit y être modérée ce qui évitera en plus de respirer de l'air trop sec.
S'inspirer des techniques du Feng Shui pour meubler les pièces, et des mesures de géobiologie pour ne pas dormir sur des points étoile (coïncidence de noeuds des réseaux Hartmann et Curry) ni sur une cheminée cosmo-tellurique.

Avoir des pensées saines

"Un esprit sain dans un corps sain" lit-on souvent; on ne peut que renvoyer à l'article sur la pensée positive. Développer sa vie spirituelle, sans brûler les étapes, en cherchant à être utile autour de soi et en mettant le monde matériel à sa véritable place, est une démarche qui va dans le sens de la santé.
Ne pas oublier d'avoir des projets, même petits ; qui n'a pas de projet d'avenir prépare une déprime.
Vivre dans un bon environnement affectif.

Avoir une activité journalière saine

Offrir à Dieu tout ce que l'on fait. C'est un des enseignements de la Bhagavad Gita. Il faut absolument essayer de le faire. C'est une méthode extraordinaire pour bien faire ce que l'on doit faire, en famille ou dans son activité professionnelle.
Il faut avoir aussi une activité hebdomadaire bienfaisante pour le corps et l'esprit, comme la pratique de Yoga, de Qi Gong ou plus modestement de relaxation.

Pourquoi la maladie?

Alors dans ces conditions, pourquoi la santé peut-elle nous abandonner? Jamais autant qu'à travers la maladie, l'homme n'apprend des leçons d'importance ... aussi vitale.

(Parenthèse sur la médecine et les médecins)

Il ne faut pas hésiter à faire appel au corps médical pour se maintenir en bonne santé. Il a fait de longues études pour cela, et en France, un puissant "Ordre des médecins" est là pour le rappeler tous les jours. Des progrès considérables ont été accomplis depuis 2 siècles. C'est un fait.
Il faut toutefois constater que les médecins occidentaux apprennent plus à guérir qu'à prévenir, et que les moyens mis en oeuvre en allopathie sont parfois démesurés face aux problèmes, ne laissant pas le système immunitaire faire son travail chaque fois que cela est possible. Il faudrait aussi que les médecins soient des "spécialistes en médecine générale", c'est-à-dire qu'ils voient les maladies sous un angle global (médecine holistique).
Sachant d'une part que les médecins vivent de leurs honoraires, et que d'autre part ils ne sont pas toujours indépendants du système de couverture sociale, du ping-pong "généralistes-spécialistes", de la rentabilité économique des hôpitaux et des trusts pharmaceutiques, il est prudent de demander l'avis de plusieurs d'entre eux (favorisant les médecines naturelles si possible) avant de se faire sa propre opinion, ce qui est la moindre des libertés; par ailleurs, il est enrichissant de s'instruire soi-même sur les problèmes de santé, et de s'en servir le cas échéant, car selon le dicton, "on n'est jamais mieux servi que par soi-même".
L'automédication tant décriée par le corps médical est dangereuse quand elle est pratiquée sans aucune connaissance. Mais les faits montrent que le corps médical occidental voit très souvent son grand savoir mis en défaut par les diverses pathologies, car s'il connaît bien la physiologie, les mécanismes et les fonctionnalités, il est très ignorant des causes fondamentales. Ce qu'il croît être des causes ne sont que des conséquences. En particulier, sa méconnaissance du corps éthérique, des chakras et des nadis, sans parler des autres corps subtils, lui donne sur ce point un retard considérable sur le corps médical oriental, qui s'appuie sur des textes et des expériences plusieurs fois millénaires. Qui est ignorant de quoi?
Un certain nombre de chercheurs occidentaux s'en préoccupent, mais sont généralement la cible de leurs collègues, et n'ont pas ou ont peu de crédits moraux et matériels au sein de leur milieu.

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Bibliographie

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Date de création: 29/04/2002; mise à jour 10/10/2008 version 1.3